La douleur est reconnue comme une priorité de santé publique. Depuis 1998, nombre de plans agrègent des actions de lutte contre la douleur. Mais de quoi parle-t-on ? De la douleur ou des douleurs ?
Celle-ci peut être, effectivement, un symptôme ou une maladie. L’une comme l’autre est transversale à bon nombre de prises en soin.
Les professionnels de santé sont très souvent dépositaires de la plainte du patient. Ils l’écoutent, l’évaluent et la traitent en fonction de leurs champs de compétence. Ces acteurs doivent pouvoir identifier les symptômes de la douleur chronique ou en voie de chronicisation, et connaître les dispositifs existants pour la prise en charge de recours.
De plus, ils ont à cœur de mener leurs actions en collaboration avec le patient et les autres professionnels de santé. Effectivement, les prises en charge coordonnées, dans le cadre du parcours de soin du patient algique, sont garantes de l’efficience des prestations. Une étude indique que les outils reconnus d’évaluation ne sont que peu utilisés et la prévention de la douleur induite ne constitue pas une pratique habituelle.
La douleur est reconnue comme une priorité de santé publique. Depuis 1998, nombre de plans agrègent des actions de lutte contre la douleur. Mais de quoi parle-t-on ? De la douleur ou des douleurs ?
Celle-ci peut être, effectivement, un symptôme ou une maladie. L’une comme l’autre est transversale à bon nombre de prises en soin.
Les professionnels de santé sont très souvent dépositaires de la plainte du patient. Ils l’écoutent, l’évaluent et la traitent en fonction de leurs champs de compétence. Ces acteurs doivent pouvoir identifier les symptômes de la douleur chronique ou en voie de chronicisation, et connaître les dispositifs existants pour la prise en charge de recours.
De plus, ils ont à cœur de mener leurs actions en collaboration avec le patient et les autres professionnels de santé. Effectivement, les prises en charge coordonnées, dans le cadre du parcours de soin du patient algique, sont garantes de l’efficience des prestations. Une étude indique que les outils reconnus d’évaluation ne sont que peu utilisés et la prévention de la douleur induite ne constitue pas une pratique habituelle.
La douleur est reconnue comme une priorité de santé publique. Depuis 1998, nombre de plans agrègent des actions de lutte contre la douleur. Mais de quoi parle-t-on ? De la douleur ou des douleurs ?
Celle-ci peut être, effectivement, un symptôme ou une maladie. L’une comme l’autre est transversale à bon nombre de prises en soin.
Les professionnels de santé sont très souvent dépositaires de la plainte du patient. Ils l’écoutent, l’évaluent et la traitent en fonction de leurs champs de compétence. Ces acteurs doivent pouvoir identifier les symptômes de la douleur chronique ou en voie de chronicisation, et connaître les dispositifs existants pour la prise en charge de recours.
De plus, ils ont à cœur de mener leurs actions en collaboration avec le patient et les autres professionnels de santé. Effectivement, les prises en charge coordonnées, dans le cadre du parcours de soin du patient algique, sont garantes de l’efficience des prestations. Une étude indique que les outils reconnus d’évaluation ne sont que peu utilisés et la prévention de la douleur induite ne constitue pas une pratique habituelle.
La douleur est reconnue comme une priorité de santé publique. Depuis 1998, nombre de plans agrègent des actions de lutte contre la douleur. Mais de quoi parle-t-on ? De la douleur ou des douleurs ?
Celle-ci peut être, effectivement, un symptôme ou une maladie. L’une comme l’autre est transversale à bon nombre de prises en soin.
Les professionnels de santé sont très souvent dépositaires de la plainte du patient. Ils l’écoutent, l’évaluent et la traitent en fonction de leurs champs de compétence. Ces acteurs doivent pouvoir identifier les symptômes de la douleur chronique ou en voie de chronicisation, et connaître les dispositifs existants pour la prise en charge de recours.
De plus, ils ont à cœur de mener leurs actions en collaboration avec le patient et les autres professionnels de santé. Effectivement, les prises en charge coordonnées, dans le cadre du parcours de soin du patient algique, sont garantes de l’efficience des prestations. Une étude indique que les outils reconnus d’évaluation ne sont que peu utilisés et la prévention de la douleur induite ne constitue pas une pratique habituelle.
La douleur est reconnue comme une priorité de santé publique. Depuis 1998, nombre de plans agrègent des actions de lutte contre la douleur. Mais de quoi parle-t-on ? De la douleur ou des douleurs ?
Celle-ci peut être, effectivement, un symptôme ou une maladie. L’une comme l’autre est transversale à bon nombre de prises en soin.
Les professionnels de santé sont très souvent dépositaires de la plainte du patient. Ils l’écoutent, l’évaluent et la traitent en fonction de leurs champs de compétence. Ces acteurs doivent pouvoir identifier les symptômes de la douleur chronique ou en voie de chronicisation, et connaître les dispositifs existants pour la prise en charge de recours.
De plus, ils ont à cœur de mener leurs actions en collaboration avec le patient et les autres professionnels de santé. Effectivement, les prises en charge coordonnées, dans le cadre du parcours de soin du patient algique, sont garantes de l’efficience des prestations. Une étude indique que les outils reconnus d’évaluation ne sont que peu utilisés et la prévention de la douleur induite ne constitue pas une pratique habituelle.
La douleur est reconnue comme une priorité de santé publique. Depuis 1998, nombre de plans agrègent des actions de lutte contre la douleur. Mais de quoi parle-t-on ? De la douleur ou des douleurs ?
Celle-ci peut être, effectivement, un symptôme ou une maladie. L’une comme l’autre est transversale à bon nombre de prises en soin.
Les professionnels de santé sont très souvent dépositaires de la plainte du patient. Ils l’écoutent, l’évaluent et la traitent en fonction de leurs champs de compétence. Ces acteurs doivent pouvoir identifier les symptômes de la douleur chronique ou en voie de chronicisation, et connaître les dispositifs existants pour la prise en charge de recours.
De plus, ils ont à cœur de mener leurs actions en collaboration avec le patient et les autres professionnels de santé. Effectivement, les prises en charge coordonnées, dans le cadre du parcours de soin du patient algique, sont garantes de l’efficience des prestations. Une étude indique que les outils reconnus d’évaluation ne sont que peu utilisés et la prévention de la douleur induite ne constitue pas une pratique habituelle.
■ Réaliser vos prestations dans le cadre de la réglementation et des plans de santé publique
■ Définir, décrire et catégoriser la douleur
■ Évaluer, prévenir et traiter la douleur en fonction de votre champ de compétence
■ Prévenir la douleur induite
■ Reconnaître la spécificité de la douleur en soins palliatifs
■ Livret apprenant
■ Powerpoint
■ Disposer d’un terminal final (Ordinateur, smartphone, tablette) disposant d’un accès à internet.
Conformément aux recommandations de la HAS de novembre 2017 concernant la formation en ligne ou le e-learning. Nous avons eu recours aux méthodes pédagogiques suivantes :
■ Méthodes expositives : elles se focalisent sur l’acquisition de contenus. Elles sont représentées par des études de cas, des présentations, des démonstrations, etc.
■ Méthodes applicatives : qui mettent l’accent sur les processus que les apprenants utilisent pour accomplir leurs tâches professionnelles et acquérir de nouvelles connaissances. La méthode démonstration / pratique, les outils de travail, les exercices fondés sur des cas pratiques ou des scénarii appartiennent à ce type de méthodes.
■ Méthodes collaboratives : qui mettent l’accent sur la dimension sociale de l’apprentissage et impliquent le partage des connaissances et la réalisation de tâches de manière collaborative.
Ce programme de formation prévoit des modalités d’évaluation reprenant le modèle de Kirpatrick.
■ Une évaluation des objectifs de chaque chapitre par un questionnaire.
■ Une évaluation de positionnement et de post formation est proposée aux participants, afin de mesurer l’acquisition des connaissances et des compétences lors de la formation.
■ Aux termes de la formation, l’apprenant élaborera des axes d’amélioration de ses pratiques et remplira le questionnaire de satisfaction.
Informations au : 04 65 84 68 96 ou contact@apteed.fr
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