Les violences conjugales, autrefois tolérées sous le "droit de correction" au Moyen Âge, sont devenues une préoccupation publique seulement dans les années 1970-1980.
Les victimes, souvent incapables de porter plainte légalement ou moralement, restaient silencieuses. La société et l'Église considéraient ces violences comme des problèmes privés. Les mouvements féministes des années 1960-1970 ont remis en question ces attitudes, poussant pour une réforme sociopolitique. Malgré des progrès législatifs, y compris une loi de 2020 renforçant la protection des victimes, les violences conjugales restent courantes.
La formation des professionnels de santé est essentielle pour mieux identifier et soutenir les victimes, une tâche encore insuffisamment réalisée.