La chirurgie ambulatoire est apparue en 1970 aux États-Unis et s’est largement développée dans plusieurs pays occidentaux, représentant aujourd’hui 70% des interventions chirurgicales au Royaume-Uni. En France, elle a été tardive, mais rattrape son retard. La Circulaire CNAMTS de novembre 1990 avait même interdit la chirurgie ambulatoire en France, mais depuis 2014, la Récupération Améliorée Après Chirurgie (RAAC) est mise en place dans les établissements de santé.
La RAAC a été développée dans les années 1990 par l’équipe danoise du Pr. Henrik Kehlet. Simone Veil, alors ministre de la santé, a souligné que la chirurgie ambulatoire est la meilleure façon de soigner lorsque l’indication le permet. L’Has définit la chirurgie ambulatoire comme une hospitalisation de moins de 12 heures sans hébergement de nuit, réalisée dans des conditions techniques sûres et suivie d’une surveillance postopératoire.
Les avantages des actes chirurgicaux en ambulatoire sont : de meilleurs résultats postopératoires, la dédramatisation de l’intervention, la réduction des risques d’infections et de perte de repères pour les personnes âgées, la diminution des coûts de fonctionnement, une organisation spécifique pour les interventions courantes, la recherche de la performance, la diminution des listes d’attente et la prise en charge par les infirmiers libéraux en post-opératoire. La durée d’hospitalisation des patients est réduite, avec moins de douze heures en moyenne.
La chirurgie ambulatoire est apparue en 1970 aux États-Unis et s’est largement développée dans plusieurs pays occidentaux, représentant aujourd’hui 70% des interventions chirurgicales au Royaume-Uni. En France, elle a été tardive, mais rattrape son retard. La Circulaire CNAMTS de novembre 1990 avait même interdit la chirurgie ambulatoire en France, mais depuis 2014, la Récupération Améliorée Après Chirurgie (RAAC) est mise en place dans les établissements de santé.
La RAAC a été développée dans les années 1990 par l’équipe danoise du Pr. Henrik Kehlet. Simone Veil, alors ministre de la santé, a souligné que la chirurgie ambulatoire est la meilleure façon de soigner lorsque l’indication le permet. L’Has définit la chirurgie ambulatoire comme une hospitalisation de moins de 12 heures sans hébergement de nuit, réalisée dans des conditions techniques sûres et suivie d’une surveillance postopératoire.
Les avantages des actes chirurgicaux en ambulatoire sont : de meilleurs résultats postopératoires, la dédramatisation de l’intervention, la réduction des risques d’infections et de perte de repères pour les personnes âgées, la diminution des coûts de fonctionnement, une organisation spécifique pour les interventions courantes, la recherche de la performance, la diminution des listes d’attente et la prise en charge par les infirmiers libéraux en post-opératoire. La durée d’hospitalisation des patients est réduite, avec moins de douze heures en moyenne.
La chirurgie ambulatoire est apparue en 1970 aux États-Unis et s’est largement développée dans plusieurs pays occidentaux, représentant aujourd’hui 70% des interventions chirurgicales au Royaume-Uni. En France, elle a été tardive, mais rattrape son retard. La Circulaire CNAMTS de novembre 1990 avait même interdit la chirurgie ambulatoire en France, mais depuis 2014, la Récupération Améliorée Après Chirurgie (RAAC) est mise en place dans les établissements de santé.
La RAAC a été développée dans les années 1990 par l’équipe danoise du Pr. Henrik Kehlet. Simone Veil, alors ministre de la santé, a souligné que la chirurgie ambulatoire est la meilleure façon de soigner lorsque l’indication le permet. L’Has définit la chirurgie ambulatoire comme une hospitalisation de moins de 12 heures sans hébergement de nuit, réalisée dans des conditions techniques sûres et suivie d’une surveillance postopératoire.
Les avantages des actes chirurgicaux en ambulatoire sont : de meilleurs résultats postopératoires, la dédramatisation de l’intervention, la réduction des risques d’infections et de perte de repères pour les personnes âgées, la diminution des coûts de fonctionnement, une organisation spécifique pour les interventions courantes, la recherche de la performance, la diminution des listes d’attente et la prise en charge par les infirmiers libéraux en post-opératoire. La durée d’hospitalisation des patients est réduite, avec moins de douze heures en moyenne.
La chirurgie ambulatoire est apparue en 1970 aux États-Unis et s’est largement développée dans plusieurs pays occidentaux, représentant aujourd’hui 70% des interventions chirurgicales au Royaume-Uni. En France, elle a été tardive, mais rattrape son retard. La Circulaire CNAMTS de novembre 1990 avait même interdit la chirurgie ambulatoire en France, mais depuis 2014, la Récupération Améliorée Après Chirurgie (RAAC) est mise en place dans les établissements de santé.
La RAAC a été développée dans les années 1990 par l’équipe danoise du Pr. Henrik Kehlet. Simone Veil, alors ministre de la santé, a souligné que la chirurgie ambulatoire est la meilleure façon de soigner lorsque l’indication le permet. L’Has définit la chirurgie ambulatoire comme une hospitalisation de moins de 12 heures sans hébergement de nuit, réalisée dans des conditions techniques sûres et suivie d’une surveillance postopératoire.
Les avantages des actes chirurgicaux en ambulatoire sont : de meilleurs résultats postopératoires, la dédramatisation de l’intervention, la réduction des risques d’infections et de perte de repères pour les personnes âgées, la diminution des coûts de fonctionnement, une organisation spécifique pour les interventions courantes, la recherche de la performance, la diminution des listes d’attente et la prise en charge par les infirmiers libéraux en post-opératoire. La durée d’hospitalisation des patients est réduite, avec moins de douze heures en moyenne.
La chirurgie ambulatoire est apparue en 1970 aux États-Unis et s’est largement développée dans plusieurs pays occidentaux, représentant aujourd’hui 70% des interventions chirurgicales au Royaume-Uni. En France, elle a été tardive, mais rattrape son retard. La Circulaire CNAMTS de novembre 1990 avait même interdit la chirurgie ambulatoire en France, mais depuis 2014, la Récupération Améliorée Après Chirurgie (RAAC) est mise en place dans les établissements de santé.
La RAAC a été développée dans les années 1990 par l’équipe danoise du Pr. Henrik Kehlet. Simone Veil, alors ministre de la santé, a souligné que la chirurgie ambulatoire est la meilleure façon de soigner lorsque l’indication le permet. L’Has définit la chirurgie ambulatoire comme une hospitalisation de moins de 12 heures sans hébergement de nuit, réalisée dans des conditions techniques sûres et suivie d’une surveillance postopératoire.
Les avantages des actes chirurgicaux en ambulatoire sont : de meilleurs résultats postopératoires, la dédramatisation de l’intervention, la réduction des risques d’infections et de perte de repères pour les personnes âgées, la diminution des coûts de fonctionnement, une organisation spécifique pour les interventions courantes, la recherche de la performance, la diminution des listes d’attente et la prise en charge par les infirmiers libéraux en post-opératoire. La durée d’hospitalisation des patients est réduite, avec moins de douze heures en moyenne.
La chirurgie ambulatoire est apparue en 1970 aux États-Unis et s’est largement développée dans plusieurs pays occidentaux, représentant aujourd’hui 70% des interventions chirurgicales au Royaume-Uni. En France, elle a été tardive, mais rattrape son retard. La Circulaire CNAMTS de novembre 1990 avait même interdit la chirurgie ambulatoire en France, mais depuis 2014, la Récupération Améliorée Après Chirurgie (RAAC) est mise en place dans les établissements de santé.
La RAAC a été développée dans les années 1990 par l’équipe danoise du Pr. Henrik Kehlet. Simone Veil, alors ministre de la santé, a souligné que la chirurgie ambulatoire est la meilleure façon de soigner lorsque l’indication le permet. L’Has définit la chirurgie ambulatoire comme une hospitalisation de moins de 12 heures sans hébergement de nuit, réalisée dans des conditions techniques sûres et suivie d’une surveillance postopératoire.
Les avantages des actes chirurgicaux en ambulatoire sont : de meilleurs résultats postopératoires, la dédramatisation de l’intervention, la réduction des risques d’infections et de perte de repères pour les personnes âgées, la diminution des coûts de fonctionnement, une organisation spécifique pour les interventions courantes, la recherche de la performance, la diminution des listes d’attente et la prise en charge par les infirmiers libéraux en post-opératoire. La durée d’hospitalisation des patients est réduite, avec moins de douze heures en moyenne.
■ Connaitre les modalités organisationnelles de la chirurgie ambulatoire et de la réhabilitation améliorée après chirurgie
■ Connaitre les soins infirmiers et le suivi post opératoire immédiat des patients à leur retour à domicile
■ Connaître les surveillances spécifiques afin de sécuriser la période post opératoire
■ Être capable d’assurer la continuité des soins avec une équipe pluridisciplinaire
■ Questionnaire de pré-formation
■ Le parcours de soin
■ Les risques liés à l’intervention
■ soins et surveillances infirmières
■ Coordination et traçabilité
■ Cas concrets
■ Étude d’articles scientifiques en lien avec la thématique
■ Mesure d’impact de la formation et questionnaire de satisfaction
■ Livret apprenant
■ Powerpoint
■ Disposer d’un terminal final (Ordinateur, smartphone, tablette) disposant d’un accès à internet.
Conformément aux recommandations de la HAS de novembre 2017 concernant la formation en ligne ou le e-learning. Nous avons eu recours aux méthodes pédagogiques suivantes :
■ Méthodes expositives : elles se focalisent sur l’acquisition de contenus. Elles sont représentées par des études de cas, des présentations, des démonstrations, etc.
■ Méthodes applicatives : qui mettent l’accent sur les processus que les apprenants utilisent pour accomplir leurs tâches professionnelles et acquérir de nouvelles connaissances. La méthode démonstration / pratique, les outils de travail, les exercices fondés sur des cas pratiques ou des scénarii appartiennent à ce type de méthodes.
■ Méthodes collaboratives : qui mettent l’accent sur la dimension sociale de l’apprentissage et impliquent le partage des connaissances et la réalisation de tâches de manière collaborative.
Ce programme de formation prévoit des modalités d’évaluation reprenant le modèle de Kirpatrick.
■ Une évaluation des objectifs de chaque chapitre par un questionnaire.
■ Une évaluation de positionnement et de post formation est proposée aux participants, afin de mesurer l’acquisition des connaissances et des compétences lors de la formation.
■ Aux termes de la formation, l’apprenant élaborera des axes d’amélioration de ses pratiques et remplira le questionnaire de satisfaction.
Informations au : 04 65 84 68 96 ou contact@apteed.fr
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