Apteed logo blanc

Catalogue de nos formations

Premièrement, choisissez votre formation par thème, ensuite, choisissez une date de début. Une fois cette date choisie, vous disposerez d'un délai de deux mois pour réaliser la formation. Après, inscrivez-vous à partir de votre compte ou laissez vous accompagner par un de nos conseillers, puis progressez à votre rythme.
Professions :
Profession(s)
Professions
Formats :
Format(s)
Formats
Financements :
Financement(s)
Financements
Types d'action :
Type(s)
Types

Programmes intégrés

FINANCEMENT PERSONNEL
EPP - 4h
Formation continue présentielle - 4h
Médecin
Infirmier
Masseur-kinésithérapeute
Pédicure-podologue
Sage-Femme
Pharmacien

La pandémie mondiale actuelle de Covid-19, les dernières crises sanitaires (SRAS, Pandémie Grippe A (H1N1), MERS-CoV, Ébola, etc.), les accidents collectifs (explosion usine AZF, explosion usine Seveso à Rouen et Bergerac…) , attentats (Bataclan, Charlie Hebdo, ..), la guerre en Ukraine, les incendies de forêts et les divers épisodes climatiques ou cycloniques, ou encore les risques NBRC (Nucléaires, Radiologiques, Biologiques, Chimiques) nous rappellent régulièrement que les professionnels de santé , ainsi que chaque citoyen, peuvent se retrouver potentiellement exposés et acteurs devant des situations sanitaires exceptionnelles.

Les professionnels de santé peuvent donc être amenés, lorsqu’ils font face à des situations sanitaires graves et exceptionnelles, à mobiliser des outils adaptés. Ceux-ci consistent en des protocoles d’actions et des méthodologies qui correspondent au niveau d’urgence et à la gravité de la situation traitée.

FINANCEMENT PERSONNEL
EPP - 4h
Formation continue e-learning - 6h
Médecin
Infirmier
Masseur-kinésithérapeute
Pédicure-podologue
Sage-Femme
Pharmacien

La pandémie mondiale actuelle de Covid-19, les dernières crises sanitaires (SRAS, Pandémie Grippe A (H1N1), etc.), les accidents collectifs (explosion usine AZF, etc.), attentats, la guerre en Ukraine, les incendies de forêts et les divers épisodes climatiques ou cycloniques, ou encore les risques NBRC (Nucléaires, Radiologiques, Biologiques, Chimiques) nous rappellent régulièrement que les professionnels de santé , ainsi que chaque citoyen, peuvent se retrouver potentiellement exposés et acteurs devant des situations sanitaires exceptionnelles.

Les professionnels de santé peuvent donc être amenés, lorsqu’ils font face à des situations sanitaires graves et exceptionnelles, à mobiliser des outils adaptés. Ceux-ci consistent en des protocoles d’actions et des méthodologies qui correspondent au niveau d’urgence et à la gravité de la situation traitée.

La vaccination est un moyen de prévention efficace pour lutter contre de nombreuses maladies infectieuses potentiellement mortelles. On estime qu’elle évite plus de 2 à 3 millions de décès par an dans le monde.
Malgré une efficacité démontrée, la vaccination ne remporte plus une adhésion totale de la part de la population et son intérêt est parfois remis en cause.
Ce contexte de défiance grandissant et de désinformation médiatique, relayé par les réseaux sociaux, impacte les couvertures vaccinales qui restent encore insuffisantes pour de nombreux vaccins.

Ces fragilités peuvent être à l’origine de réémergences d’épidémies, comme ce fut le cas avec la rougeole.

Cette formation est conforme aux exigences de l’ Arrêté du 8 août 2023 fixant le cahier des charges relatif aux conditions techniques à respecter pour exercer l’activité de vaccination.

Au 21e siècle, le déclin de la transmission intergénérationnelle et le stress parental croissant entraînent une augmentation des vulnérabilités.

L'État et les professionnels de la santé doivent promouvoir la santé physique et émotionnelle.

La HAS recommande un suivi personnalisé pour les couples mères-enfants vulnérables, de l'anténatal au postnatal, pour renforcer leurs compétences parentales. Prévenir les problèmes est essentiel face aux risques socio-économiques croissants.

Environ 10 % des femmes enceintes en France présentent des vulnérabilités psychosociales, telles que l'isolement social ou la précarité économique.

Formations continues

La maladie d'Alzheimer représente un défi majeur de santé publique à travers le monde, caractérisée par une détérioration progressive de la mémoire, du raisonnement et de la capacité à accomplir les activités quotidiennes. Elle affecte principalement les personnes âgées, bien que tous les seniors ne soient pas touchés. Des facteurs tels que l'hypertension, le diabète, l'obésité, le tabagisme, une consommation excessive d'alcool, le manque d'activité physique, l'isolement social, et la dépression augmentent le risque de développer cette condition, qui non seulement a un impact considérable sur les individus atteints mais également sur leurs proches et la société dans son ensemble. Cette maladie est souvent mal comprise, ce qui peut conduire à une stigmatisation et entraver l'accès à un diagnostic et à des soins appropriés. Au niveau mondial, Alzheimer est responsable de 60 à 70 % des cas de démence, avec environ 58 millions de personnes affectées en 2019, et ce nombre devrait grimper à 139 millions d'ici 2050. La maladie représente la 7ème cause de décès dans le monde, avec une prédominance chez les femmes. En France, où elle touche actuellement 1,2 million de personnes, ce chiffre est attendu pour doubler d'ici 2050. Elle est la principale cause de dépendance chez les sujets âgés et conduit souvent à l'entrée en institution. Le coût associé à la prise en charge des démences en France est estimé à 32 milliards d'euros par an. Face à ces enjeux, les médecins généralistes jouent un rôle clé dans l'identification précoce de la maladie, la coordination des soins et le soutien aux aidants. Ils sont confrontés à des défis tels que le diagnostic précoce difficile, la gestion des soins à long terme et la collaboration avec d'autres professionnels de santé pour une prise en charge optimale des patients. La formation continue et l'accès à des ressources adéquates sont essentiels pour améliorer la qualité de vie des patients et de leurs proches. En s’appuyant sur les recommandations de la HAS, cette formation propose au médecin une démarche d’accompagnement du patient, et le renseigne sur l’offre de soin existante et les parcours. A l’issue de la formation, il sera en mesure de poser le diagnostic de trouble neurocognitif léger ou majeur, d’éliminer un trouble d’origine psychologique ou psychiatrique (anxiété, dépression principalement) ou un trouble d’une autre étiologie, de faire preuve d’une écoute empathique pour les éventuels questionnements et/ou craintes de la personne, de proposer au patient un parcours de soins adapté à sa situation (âge, avancement de la maladie, situation personnelle…), de coordonner toute l’équipe de soins autour du patient et d’être à l’écoute des aidants professionnels et familiaux.

L’endométriose, une maladie gynécologique inflammatoire chronique, touche environ 10 % des femmes en âge de procréer en France, soit entre 1,5 et 2,5 millions de femmes. Pourtant, le diagnostic reste tardif, avec un délai moyen estimé à 7 ans, ce qui aggrave son impact sur la qualité de vie. Elle se manifeste par des douleurs invalidantes, des troubles menstruels, voire une infertilité, et altère significativement la vie personnelle, sociale et professionnelle des patientes. Selon EndoFrance, 65 % des femmes concernées constatent un impact négatif au travail. En réponse, la France a lancé en 2022 une stratégie nationale pour renforcer le dépistage, améliorer la prise en charge et sensibiliser le public. Ce plan vise également à réduire le fardeau économique et humain de cette maladie encore trop méconnue, bien qu’elle représente un enjeu majeur de santé publique.

La démence, cause principale de handicap et de dépendance chez les personnes âgées, regroupe des symptômes marqués par un déclin cognitif sévère, pouvant altérer l’autonomie quotidienne et conduire à la mort. L’augmentation de l’espérance de vie entraîne une progression significative des cas, posant des défis en termes de soins et de recherche. Les maladies neuro-dégénératives (MND) touchent 1,5 million de personnes en France, un chiffre sous-estimé en raison d’un sous-diagnostic important. Le "Plan national maladies neurodégénératives 2014-2019" vise à améliorer les parcours de soins, alors que les projections annoncent une forte hausse des malades d’ici 2030. La maladie de Parkinson, chronique et évolutive, est due à la destruction des neurones dopaminergiques. Elle touche 200 000 personnes en France, avec 25 000 nouveaux cas annuels et une prévision de 260 000 patients traités en 2030. Ses causes, encore inconnues, semblent résulter d’interactions entre facteurs génétiques et environnementaux. Les professionnels de santé jouent un rôle clé dans la prise en charge, mais leurs connaissances sur les besoins des malades restent insuffisantes. Une formation spécialisée et continue est indispensable pour garantir des soins de qualité et un accompagnement bienveillant des patients et de leurs familles.

La démence, englobant divers symptômes de déclin cognitif et moteur, entraîne handicap et dépendance chez les personnes âgées, avec un risque d’évolution fatale. Les maladies neurodégénératives, comme Alzheimer, touchent environ 1,5 million de personnes en France, un chiffre sous-estimé à cause de diagnostics souvent tardifs. Le vieillissement de la population augmentera leur prévalence, doublant le nombre de cas d’Alzheimer d’ici 2050. Bien que principalement observée chez les seniors, cette maladie concerne aussi des plus jeunes. Le sous-diagnostic persistant prive certains patients de soins adaptés, soulignant l’importance d’une formation continue pour les professionnels de santé. Celle-ci doit inclure des stratégies de diagnostic et de prise en charge spécifiques, particulièrement pour les jeunes patients, dont les besoins restent souvent mal couverts.

Différentes lois précisant les droits des patients et devoirs des soignants se sont succédé depuis 1999 afin d’améliorer la prise en charge des patients en fin de vie : amélioration de la prise en charge de la douleur physique et des autres symptômes, des souffrances à la fois physiques, psychologiques, sociales mais aussi spirituelles, quel que soit le lieux de vie des patients. Le Plan national 2021-2024 « Développement des soins palliatifs et accompagnement de la fin de vie » lancé par le Ministre de la Santé le 22 septembre 2021, poursuit la dynamique du Plan 2015-2018 pour améliorer les connaissances sur les droits en faveur des personnes malades et des personnes en fin de vie, mieux anticiper les besoins de prise en charge palliative, structurer et renforcer la filière palliative et soutenir la formation de l’ensemble des acteurs pour garantir une prise en charge à la fois pertinente et conforme aux volontés exprimées par les personnes malades.

- Les douleurs pelviennes chroniques constituent des motifs de consultation fréquents. Ces douleurs peuvent avoir des circonstances de venue multiples (traumatismes, infectieux, endométriose, …) et provenir d’organes différents du pelvis.
- Elles peuvent résulter de traumatismes ou lésions ostéo-articulaires (coccygodynie), de compressions nerveuses (névralgies pudendale, clunéale), être en lien avec des tensions musculaires (syndrome myo-fascial).
- Il s’agit ainsi d’améliorer le bilan et la prise en charge kinésithérapique des personnes souffrant de douleurs pelviennes chroniques.

Évaluations des Pratiques Professionnelles

La formation aborde cinq modules. Le premier traite de la maladie de Parkinson, ses descriptions cliniques et sa prévalence, ainsi que des critères de diagnostic. Ensuite, les mécanismes physiopathologiques et les signes précurseurs sont étudiés, suivis des diagnostics différentiels.

Le deuxième module passe en revue les traitements médicamenteux et associés, leurs actions, effets secondaires, administration et surveillance.

Le troisième module explore les traitements non médicamenteux, incluant la chirurgie, la rééducation, la nutrition, l'ergothérapie, l'orthophonie et les cures thermales.

Dans le quatrième module, la reconnaissance des troubles, les aides sociales et juridiques ainsi que l'aménagement du domicile sont discutés.

Enfin, le dernier module se concentre sur la gestion quotidienne de la maladie, y compris l'annonce du diagnostic, les périodes "off", les problèmes sexuels, la douleur, les troubles urologiques, neuropsychiatriques et du sommeil.

La douleur est reconnue comme une priorité de santé publique. Depuis 1998, nombre de plans agrègent des actions de lutte contre la douleur. Mais de quoi parle-t-on ? De la douleur ou des douleurs ?

Celle-ci peut être, effectivement, un symptôme ou une maladie. L’une comme l’autre est transversale à bon nombre de prises en soin.

Les professionnels de santé sont très souvent dépositaires de la plainte du patient. Ils l’écoutent, l’évaluent et la traitent en fonction de leurs champs de compétence. Ces acteurs doivent pouvoir identifier les symptômes de la douleur chronique ou en voie de chronicisation, et connaître les dispositifs existants pour la prise en charge de recours.

De plus, ils ont à cœur de mener leurs actions en collaboration avec le patient et les autres professionnels de santé. Effectivement, les prises en charge coordonnées, dans le cadre du parcours de soin du patient algique, sont garantes de l’efficience des prestations. Une étude indique que les outils reconnus d’évaluation ne sont que peu utilisés et la prévention de la douleur induite ne constitue pas une pratique habituelle.

L’audit clinique est une méthode d’évaluation des pratiques qui mesure les écarts entre la pratique réelle observée et la pratique attendue ou recommandée (recommandations de bonne pratique…) à partir de critères d’évaluation.

En fonction des résultats d’une première évaluation, les professionnels mettent en place des actions d’amélioration de la qualité des soins (Tour 1).

L’impact de ces actions est évalué par une nouvelle mesure des écarts entre la pratique réelle observée et la pratique attendue ou recommandée selon les mêmes critères d’évaluation (Tour 2).

Ce programme de DPC est composé d’une Évaluation des Pratiques Professionnelles utilisant la méthode HAS de l’audit clinique. L’audit doit être réalisé sur une pratique fréquente réalisé par le professionnel en pratique courante. Ce programme débute par le premier tour de l’audit clinique, composé d’une grille de critères. A l’issue du premier tour, un bilan permettra d’identifier les points forts et les points à améliorer, d’établir un profil et d’avoir des choix de comparaisons anonymes, (résultats individuels, session et de l’ensemble de la profession). Un retour personnalisé vous permettra de définir un objectif d’amélioration à mettre en œuvre durant la période de 3 mois. Un second tour d’audit sur les mêmes critères, permettra d’auditer à nouveaux vos pratiques, et de réaliser un suivi pour évaluer l’impact des mesures d’améliorations que vous avez déterminées.